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Le Festival International de la photo de Tbilissi  est de retour pour sa 10e édition annuelle  avec un programme dynamique d'expositions exceptionnelles, d'événements captivants et la Nuit de la photographie - projections nocturnes en plein air au Mushtadi Parc, le plus ancien parc de Tbilissi.
 
Au cours des dix dernières années, le festival est devenu l'un des événements artistiques les plus importants de la région du Caucase du Sud. Son identité a été façonnée par la créativité avec laquelle il utilise le médium de la photographie pour réfléchir aux problèmes les plus difficiles de notre époque. Le Festival International de la photo de Tbilissi  s'est également fermement établi en tant que plaque tournante mondiale de la photographie internationale au carrefour de la Grande Route de la Soie, promouvant et soutenant la photographie régionale et présentant les travaux de certains des photographes les plus renommés au monde et des nouveaux arrivants les plus excitants.
 

Lancement du musée de la photographie et du multimédia de Tbilissi
 
Pour le 10e anniversaire du festival, Le Festival International de la photo de Tbilissi  lancera le Musée de la photographie et du multimédia de Tbilissi (TPMM) - la première institution en Géorgie centrée sur l'image contemporaine et promouvant la photographie en tant que catalyseur des changements sociaux et culturels en Géorgie et dans le Caucase du Sud. Il abrite une vaste collection d'images qui représentent les riches traditions de la culture visuelle nationale et régionale.

Situé dans le célèbre hôtel design Stamba, l’inauguration de TPMM sera l’événement central de la semaine d’ouverture et mettra en vedette l’installation vidéo UNUS MUNDUS: Rituals and Trances, du duo d'artistes français Vincent Moon et Priscilla Telmon. Leur installation multi-écrans, qui a duré dix ans, est composée de plus de 100 films explorant le monde de la musique sacrée et des rituels. En documentant les cérémonies de transe et les rassemblements spirituels dans le monde entier (par exemple, rituels soufis en Tchétchénie, utilisations de plantes chamaniques en Amazonie, chants d'églises éthiopiennes, transes populaires javanaises), l'installation est conçue pour créer un autre type de relation pour le spectateur. Il n’ya ni début ni fin, l’ensemble de l’installation tourne en boucle mais s’affiche dans un système alternatif d’aléatoire : il n’y a jamais de répétition, toutes les compositions sont constamment nouvelles et créent de nouvelles significations à chaque instant.